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Il m'arrive parfois de me rappeler cette nuit personnelle, celle où ils ont décidé de me téléphoner à pour la première fois. c'est une de ces nuits où le motus régnait, et toutefois l'agitation intérieure de deux âmes à la recherche de pressentiments était sensible. Leurs parler tremblaient un minimum au bout du fil, la nervosité d’une consultation de voyance directe gratuite, où l’on pense pouvoir tout sans savoir exactement quoi attendre. Ils cherchaient de ces informations sur l’amour, un amour qui vacillait, qu'ils ne savaient plus comment familiariser. Ils réalisaient chacun de leur côté, dans de ces communes différentes, reliant leurs cœurs par des informations, de ces appels. Mais toutefois, un fossé s'était creusé entre eux. Elle était épuisée des insécurités qui la rongeaient, et lui, perdu dans ses propres phobies, ne savait plus comment la rassurer. Ils avaient besoin d’une guidance, d’une lumière instantané, et c’est ainsi qu’ils m’ont pu trouver, un soir où ils ne avaient l'occasion de plus attendre, par l'intermédiaire d'une consultation de voyance 24h/24, cherchant des ressentis immédiatement ni s’inscrire. Leur amour était suspendu à de ces contenus internet, à de ces raisons qu'ils avaient du mal à tenir. Dès que j’ai débuté à ressentir leurs ondes à travers l’appel, quelque chose m’a frappé : ils s’aimaient grandement, mais ils étaient épuisés. Les oracles que j’ai tirées ce soir-là m’ont montré une route semée d’embûches, mais jamais impassable. Ils n’étaient pas venus me demander si leur amour survivrait, ils voulaient voir comment. Ils se battaient encore, délicatement, pour cette relation qui les définissait tant. En mots, j’ai tenter de leur prouver ce que leurs cœurs refusaient d'étudier : leur amour était encore là, mais couvert par la distance, par la frayeur de l’échec. Les consultations ont continué, constamment tard dans la nuit, quand le monde s'endort mais que les âmes tourmentées, elles, demeurent éveillées. Le service de voyance gratuite en ligne vingts quatre sur vingt quatre leur offrait ce dont ils avaient besoin : une esgourde attentive, une démarche nette, gratuite, sans décision. toute conversation, chaque tirage de boules de cristal était une autre chose de leur cheminement. les intérogations revenaient, comme des vagues incessantes, mais je voyais aussi que quelque chose commençait à changer entre eux. Un soir, elle m'a dénommée seule. Il y avait dans sa élocution une tristesse profonde, un indécision que je n'avais pas encore aperçu lors des consultations précédentes. Elle m’a admis qu’elle ne savait plus si elle devait continuer à souhaiter. Il devenait pas facile pour elle de croire que cet amour qu’ils avaient partagé pouvait encore être rescapé. C’est ce soir-là que je lui ai rapporté ce que les oracles m’avaient montré : il fallait qu’elle prenne du recul, non pour stopper, mais pour se retrouver elle-même. Parfois, la distance que l’on Découvrez ici met entre soi et l’autre est utile pour mieux se reconnecter.

Elle m'expliqua que la vie n'était pas devenue subitement simple, certainement. Ils avaient encore leurs épisodes de doute, des petites conflit, tels que tous les relation, mais la différence résidait dans leur manière de gérer ces instants. Ils ne fuyaient plus. Ils se parlaient, avec une passion qu'ils avaient longtemps épouvante. Les cartes que j'avais tirées pour ces patients, et les visions qui s'étaient manifestées durant nos consultations, s'étaient réalisées, non pas dans une transformation tout de suite, mais dans un process lent de reconstruction. Je la félicitai, non sans une certaine les facteurs psychiques. c'était exceptionnel de recevoir des nouvelles après tant de temps, et surtout peu fréquent d'instruire que tout allait bien. Elle me confia qu'ils allaient dans peu de temps partir pour un nouveau voyage, cette fois pour fêter ce qu'ils avaient surmonté. Ce voyage, efficace et efficacement moins lourdement que le 1er, marquait un tournant dans leur histoire. Ils ne fuyaient plus leurs problèmes, ils allaient de l’avant, main dans la main. Après cet change, le motus est rapport. Pas un motus lourd, mais celui qui s’active lorsque les âmes ont identifié la paix, lorsque il n'est plus indispensable de trouver des guidances extérieures parce qu'on a appris à être à l'écoute de certaines de celles qui murmurent en soi. Les saisons ont continué de effiloquer. des relation, d'autres personnages en quête de pressentiments ont enfreint le seuil de ma vie, en provenance chercher des éclairages, des indications. Mais leur histoire restait gravée, parmi tant d'autres. Parfois, je repensais à ces longues nuits où je les guidais, à ces silences partagés au téléphone, ces rencontres où tout semblait écrouler avant de progressivement se reconstruire. Leur parcours m'a affilié, comme toutes les fois, que l’amour est une fibre déchaînée, qu'il change, qu'il se transforme, et qu'il ne devra jamais être déguisés en acquis. Et clairement que leurs appels se soient tus, je savais, d'ailleurs de moi, que leur histoire continuait, loin des consultations, loin des oracles. Ils vivaient leur vie, avec les autres, puissantes de tout ce qu’ils avaient appris, et c’était tout ce que j’avais espéré pour eux.